L’ASSOCIATION SAINT JEAN DE LA CROIX

Pour une entraide à la vie spirituelle chrétienne...

"…Les membres de l’Association entendent développer prioritairement l’écoute de la Parole de Dieu, tant dans le silence de l’oraison, que dans l’étude de la tradition spirituelle chrétienne, dont l’Église catholique romaine est dépositaire. De même leur apostolat visera prioritairement à faire mieux connaître cette tradition spirituelle…

Parmi ses moyens d’apostolat, l’Association développera tout spécialement ceux qui, à travers le travail scientifique, l’enseignement et la publication, visent à faire mieux connaître la tradition spirituelle chrétienne."

Article 1 des statuts de l'Association

La famille Saint-Jean-de-la-Croix est née dans la paroisse de Saint-Août (Indre), où un groupe de fidèles s'était constitué à partir de 1981 sous la conduite de son curé, le Père Max de Longchamp, autour d’un service d’éducation à l’oraison, avec une forte pratique de la lecture spirituelle.

En 1995, à l’occasion de la réorganisation des paroisses du diocèse de Bourges, l'archevêque de Bourges a demandé à ces fidèles de se structurer canoniquement, et d'animer un pôle régional de formation spirituelle, le Centre Saint-Jean-de-la-Croix, qui est à la fois la maison de famille de l’association, un lieu de vie consacrée et le siège de ses activités de formation et d’édition.

L'Association Saint-Jean-de-la-Croix s'est peu à peu développée en suscitant des associations-soeurs en Italie (Confraternità della Beata Vergine del Carmelo, sous la conduite du Père Antonino Raspanti, depuis lors évêque d’Acireale) et en Belgique (Vereniging Jan van Ruusbroec, sous la conduite du Père Paul Vanderstuyft, dans le diocèse de Malines-Bruxelles).

La pratique de l'oraison et de la lecture spirituelle caractérisent la vie des membres de l'Association Saint-Jean-de-la-Croix. Parmi eux, les membres titulaires ont des engagements précis de trois ans en trois ans, et reçoivent une assistance pastorale spécifique dans ces deux domaines. Parmi les titulaires, des femmes ont opté pour une vie de béguine, et des hommes se sont rassemblés dans une société de vie apostolique comptant aujourd'hui cinq prêtres.